Jean-Philippe Delgrange, directeur d’ESSOR, est partit récemment en mission au Mozambique.
Retour sur cette mission en quelques questions.

Quels étaient les objectifs de votre mission ?

Jean-Philippe : Je suis allé au Mozambique pour suivre la mise en œuvre des activités en matière de Formation et d’Insertion Professionnelle, d’Education, d’Information et d’Orientation Sociale et de développement agricole.

Lors du suivi des activités j’ai notamment été impressionné par la file d’attente devant nos Bureaux d’Orientation Sociale et Professionnelle pour obtenir des actes de naissance. Ces actes de naissance délivrés par les BIOSP permettront à nos bénéficiaires d’accéder à l’éducation, aux formations professionnelles, d’ouvrir un compte en banque, etc.

J’ai également profité de cette mission pour échanger avec les équipes autour de la Charte Inter Aide / ESSOR / ATIA, une charte qui définit les principes fondamentaux d’ESSOR en matière de mise en œuvre des actions sur le terrain comme dans la gestion des ressources humaines et financières.

Nous avons récemment recruté un nouveau Coordinateur Pays au Mozambique. J’ai pu profiter de ma venue pour l’appuyer dans sa prise de poste.

Enfin, j’ai profité de cette mission pour échanger et travailler avec les équipes et les partenaires. Notamment avec notre partenaire mozambicain ABIODES sur la poursuite des activités de développement agricole au Mozambique.

Photo de mission

Avez-vous rencontré des difficultés particulières durant votre mission ?

Jean-Philippe : Ma mission s’est globalement très bien passée. Cependant, j’ai pu observer quelques difficultés sur le terrain sur lesquels nous allons travailler et nous améliorer. J’ai également rencontré quelques difficultés logistiques liées au contexte sanitaire. Voyager en temps de COVID nécessite une organisation importante.

Quel est le bilan de votre mission ?

Jean-Philippe : Je retiens beaucoup de positif : les équipes locales sur le terrain sont de plus en plus « performantes », motivées et autonomes. Nos partenaires mozambicains à Beira ont également beaucoup évolué. Tout ça est très encourageant pour l’avenir.

Avez-vous une anecdote de mission à nous raconter ?

Jean-Philippe : Mon bagage est resté à Paris et n’est arrivé que 4 jours après moi… J’ai eu la chance de pouvoir compter sur un prêt de vêtements par un proche d’ESSOR : Un grand merci !

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