Rafik encourage les jeunes, comme lui, à poursuivre leurs rêves.

Le chômage élevé des jeunes congolais fait de la formation et de l’insertion socioprofessionnelle l’un des enjeux cruciaux.
Malgré les efforts déployés, ce taux de chômage s’élève à 30% interpellant ainsi tous les acteurs de la formation et de l’insertion socioprofessionnelle à redoubler d’effort.
C’est donc pour contribuer à ces efforts qu’ESSOR mène depuis fin 2019 des projets de formation, d’insertion professionnelle au bénéfice des jeunes vulnérables à Brazzaville.
Pour poursuivre les activités, ESSOR vient de bénéficier d’un financement de l’Union Européenne qui a pour objectif de contribuer à l’amélioration de la qualité de vie des populations de Brazzaville, Pointe-Noire, Dolisie et Ouesso grâce au renforcement de la société civile congolaise, actrice du développement et de la citoyenneté locale, à travers la mise en place d’un dispositif innovant pour la formation et l’employabilité des jeunes.
L’accent est mis sur les plus vulnérables, avec par exemple des cours d’alphabétisation à l’égard de ceux qui ne savent ni lire ni écrire, ou des formations à la carte en fonction des besoins des jeunes.
Ce projet touchera directement 1200 jeunes et 22 Organisations de la Société Civile congolaises.